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En Palestine, le sport populaire fait vibrer l’été

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  • il y a 7 minutes
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Cet été, en plus du camp d'été organisé à Bethléem, deux festivals sportifs ont marqué la vie de deux localités palestiniennes : le camp de réfugiés de New Askar et le village de Battir.


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Le 21 août, en coopération avec la ville française d’Allonnes, un festival a rassemblé plus de cent enfants dans le camp de réfugiés de New Askar, près de Naplouse. Malgré les incursions militaires répétées qui frappent durement la population du camp, les enfants ont pu profiter d’un moment de jeu et de liberté. Pour Mohammed Abu Keshek, président du comité populaire de New Askar, « ce festival reflète notre engagement à offrir aux enfants des espaces ouverts et sûrs pour jouer et s’épanouir. Le sport dans les camps est une nécessité éducative et nationale ».


De son côté, Saleh Abou Saleh, coordinateur du projet Sport pour Toutes et Tous, a souligné que « le sport est une langue universelle et un droit fondamental pour chaque enfant. Ce festival est une étape vers une société plus solidaire et pleine d’espoir ».



Quelques jours plus tard, le 29 août, c’est à Battir, en coopération avec la ville française de Saint-Brieuc, qu’un second festival sportif a pris place. Plus de 200 enfants ont participé à des activités variées : ultimate, handball, relais, volley-ball, jeux collectifs… Le tout aux côtés du club sportif local.



Ces deux festivals, accessibles à toutes et tous, s’inscrivent pleinement dans la démarche de sport populaire et émancipateur portée par la FSGT et ses partenaires en Palestine. Ils rappellent que, même dans un contexte de guerre et d’occupation, le sport reste un outil puissant pour créer des espaces de liberté, d’éducation et de solidarité.


Les représentants de la FSGT ont eu la chance unique d’assister au festival sportif de Battir lors de leur mission en Palestine. Ils ont été immédiatement séduits par l’énergie contagieuse des enfants et l’engagement remarquable des animateurs et animatrices locaux. « C’était comme retrouver l’esprit de nos comités FSGT, mais ici, en Palestine ! », a partagé Antonio Fonseca, co-président de la FSGT, visiblement impressionné par la vitalité et l’enthousiasme de cette jeunesse lors de sa toute première visite sur place.


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